Traversée céleste.
Evocation d'un reste de caresse Erosion rythmée des traces de l'âge Où joue l'impassible grand mage Sur le corps que le temps régresse
Flotte au sommet, le fanion du dernier espoir A la veille du départ vers le pays nébuleux Des regards qui soutiennent de déchirant adieux Douce lumière, dévoile le long et inexploité couloir
Imbue d'une croyance, d'une rumeur Harmonie de l'ombre à la clarté Complaisance qu'on ne peut ignorer La violence, n'est plus qu'une lointaine tumeur
Tambour battant, sautant le grand fossé Et traversant d'innombrables circuits Prenant place dans l'édredon de la nuit Où resplendie une âme dans un coeur étoilée.
Sarang. |